Retoucher à un jeu vidéo après deux mois d’abstinence quasi complète… c’est mal, mais ça fait du bien. Pas à mes cernes, pas à ma productivité, mais bordel, qu’est ce que c’est bon. Après tant de temps, je suis comme un affamé qui retrouve un morceau de pain : je salive avant, pendant et après consommation. Et comme je ne voulais pas me contenter d’un crouton de pain rassis (mais plutôt savourer une belle tartine), j’ai préféré m’en référer à mes souvenirs de connaisseurs. Ainsi, je me suis retourné vers Peggle Extreme.

Aaaaah Peggle Extreme… Fourni avec l’Orange Box, ce petit bout de gameplay simplissime est un coup de génie des petits gars de PopCap Games, des artisans de la petite production usinée main de la scène indé. Et autant vous dire qu’à l’époque, j’avais adoré le délire (il faut dire les choses) intrinsèque au bouzin. Imaginez donc : un jeu de casse-brique lié autant au hasard qu’à la précision, dans un univers bucolique peuplé de gentils animaux, mais parasité complètement par l’univers d’Half-Life, Orange Box oblige. Ça sent bon le concept finalisé sous LSD, j’aime beaucoup.

Si vous n’êtes pas allergique aux casse-briques, aucune contre-indication n’est à déplorer. Vous allez voir les billes en acier et la physique élémentaire d’une autre manière qu’au flipper, je vous le garantis ! Et tant qu’à faire, prenez aussi la Orange Box, c’est pour votre bien.

Les liens qui vont bien :

• Peggle Extreme sur Steam
• La Orange Box pour les deux du fond qui ne l’ont toujours pas (et qui, pour certains, méritent la peine capitale)
• Une vidéo d’un OMFGWTFBBQ lucky shot de cocu